M. Basshiru Jubrin,
J'avais déjà reçu ce formulaire, mais merci quand même de me le renvoyer, on n'en a jamais assez, et on ne sait jamais, si je fais une faute ou une rature en remplissant le premier, comme ça j'en ai un deuxième pour recommencer.
Vous auriez quand même pu y joindre un mot d'explication, un bonjour, une quelconque formule de politesse. Nous ne sommes pas des machines, nous sommes des amis, n'est-ce pas ?
De plus, je commence à avoir l’impression, assez désagréable, que vous prenez à la légère l’urgence de la situation, voire pire encore, que vous ne lisez pas du tout les messages que je vous adresse. Je suis disposé à aider, mais il faudrait pour cela que je sois assuré de votre sérieux ce qui, excusez-moi de vous le dire, n’est pas du tout le cas jusqu’à présent.
Des sommes considérables sont en jeu, Basshiru Jubrin, et j'aimerais être assuré que vous suivez tout cela avec un minimum d'intérêt et d'attention, pas seulement que vous m'expédiez automatiquement des messages pré-écrits dès réception de mes réponses. Comme je vous l'ai dit, je ne pouvais m'occuper de ces formulaires pendant le weekend avec la fermeture des banques. Je peux maintenant m'en occuper, mais à quoi bon, si vous-même semblez totalement indifférent à tout cela ?
Si j’ai l’impression, dans votre prochain e-mail, que vous ne lisez pas ce que j’écris ou ne vous intéressez pas vraiment à cette affaire, nous ne pourrons traiter ensemble, ce qui serait extrêmement regrettable pour vous comme pour moi.
Veuillez agréer plein d’énormes poutous.
M. Enclume
J'avais déjà reçu ce formulaire, mais merci quand même de me le renvoyer, on n'en a jamais assez, et on ne sait jamais, si je fais une faute ou une rature en remplissant le premier, comme ça j'en ai un deuxième pour recommencer.
Vous auriez quand même pu y joindre un mot d'explication, un bonjour, une quelconque formule de politesse. Nous ne sommes pas des machines, nous sommes des amis, n'est-ce pas ?
De plus, je commence à avoir l’impression, assez désagréable, que vous prenez à la légère l’urgence de la situation, voire pire encore, que vous ne lisez pas du tout les messages que je vous adresse. Je suis disposé à aider, mais il faudrait pour cela que je sois assuré de votre sérieux ce qui, excusez-moi de vous le dire, n’est pas du tout le cas jusqu’à présent.
Des sommes considérables sont en jeu, Basshiru Jubrin, et j'aimerais être assuré que vous suivez tout cela avec un minimum d'intérêt et d'attention, pas seulement que vous m'expédiez automatiquement des messages pré-écrits dès réception de mes réponses. Comme je vous l'ai dit, je ne pouvais m'occuper de ces formulaires pendant le weekend avec la fermeture des banques. Je peux maintenant m'en occuper, mais à quoi bon, si vous-même semblez totalement indifférent à tout cela ?
Si j’ai l’impression, dans votre prochain e-mail, que vous ne lisez pas ce que j’écris ou ne vous intéressez pas vraiment à cette affaire, nous ne pourrons traiter ensemble, ce qui serait extrêmement regrettable pour vous comme pour moi.
Veuillez agréer plein d’énormes poutous.
M. Enclume
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